Valyra était en train de marcher, silencieusement, et ses pas étaient presques inaudibles. Elle était sur le toit, plusieurs surveillants lui avaient interdit de venirs, mais elle leurs avait dit de se pousser, ou ils aurait affaire avec elle personnellement, et son regard perçant les faisaient partir, elle avait déjà prouver à un surveillant, contre toutes règles, à ne pas se mettre en travers de son chemin, celui-ci s'en était souvenu, et était d'ailleurs devant l'entrée du toit, derrière la porte, à l'interieur. Valyra n'avait pas apprécier de ce faire parler comme à une vulgaire serpillère, même de la part de ceux qui étaient sencés faire respecter la lois dans le manoir.
Notre jeune femme était sur le rebord, regardant l'horizon, baignée dans la pleine lune, qui donnait à sa longue veste en cuir noire, une impression de lumière pure, brillante. elle regardait au loin, sans pensées précise, elle s'était retrouvée là, par pur hazard, elle avait laisser son instinct la guidée, et savait que si on la cherchait, on saurait où la trouvée, vu le nombre de surveillant qu'elle avait remit en place, peut être le maître serait de mauvaise humeur, mais tant pis. Valyra s'approchait toujours plus du rebord, jusqu'à ce que ses pieds dépasse un peu dans le vide, et un vent des plus frais la fouettait assez viollement, faisant voler sa veste dans toutes les directions, ses cheveux, blonds, avec les rayons de lunes avaient prit une teinte blanche brillante, sa peau, était également blanche, tlle qu'on aurait cru voir un mort, un peu comme son esprit.
Fermant les yeux, elle prit une boufée d'air avant de les ré ouvrir, et de fixer de nouveau l'horizon, mais un surveillant, vint auprès d'elle :
- Ne te met pas ici ! Eloigne toi du bord !
- Foutez-moi la paix si vous voulez pas finir comme l'autre !
Celui-ci ne voulut rien entendre, et s'approcha d'elle, voulant la prendre par le bras, mais elle lui mit un coup de coude dans l'estomac, et lui fit un croche patte, le poussant à terre, et le fixant avec des yeux assez froid, comme son tempérament du moment. Le surveillant n'insista pas, et partit avec un peu de mal, Valyra savait où taper exactement, et peu importe qu'il soit un vampire ou pas. Ce faisant, elle reprit sa position initiale.
- Rien de mieux que le vent foid, mêlé aux rayons de lune...