découverte de la chambre

Arioch, après divers évènements, se rendit dans l'endroit qui pendant, un certain temps, sera sa chambre. Une salle simple et sombre, un lieu pleins de charmes pour Arioch.

*Cette chambre est bien rustre pour des ados, moi cela me derange pas, mais qu'en est il pour l'autre personne de cette chambre ?*

Epuisé, il s'approcha d'un des deux lits, les deux étaent faits, mais près de l'un des deux il y avait son vieu sac, il en conclu que là était sa plaçe. Il s'y couchat et s'endormis plein de pensées.


[hors] Ruika si tu veux me repondre, reveil moi ^^.

(HJ: Je vais pas te laisser un gaz non plus XD)

Elle se tenait à ce qu'elle avait dit, elle laissait son maitre tranquile et ne l'ennuyrait pas plus. Un peu de liberté ne fesait pas de mal non? Enfin, c'est avec un profond soupire qu'elle quitta le toit et alors, qu'elle se baladait, se rendit compte qu'elle ne savait toujours pas ou était sa chambre. Elle n'avait plus avec elle son sac , elle avait du le confier à un vampire en quittant le parloir. Celui ci lui avait dit qu'il serait mis à dispositon dans sa chambre. Elle se sentait un peu seule en ce moment et l'abscence de la peluche qui l'avait accompagné durant toute sa vie se fesait à présent sentir et la mettait mal à l'aise. Il était étonnant qu'elle ne l'aie pas réclamer plus tôt mais le comportement de son maitre l'avait tant...fasciné qu'elle n'avait plus rien d'autre en tête en ces moments. Elle finit par trouver les chambres et se figea en arrivant devant la porte sur laquelle était indiqué son nom car...c'était également la chambre de son maitre. Penserait il qu'elle avait désobéi ? Risquait elle de prendre une raclée comme cela était arrivé de nombreuse fois? Son tempérament rebelle s'insurgait enelle et elle poussa la porte de la chambre. C'était également sa chambre etles punitions ne lui fesaient pas peur, elle en avait tant vu, tant vécue qu'elle ne lui fesait plus rien. Elle s'était endurcit progressivement mais jamais ne s'était soumise. Cela ne risquait pas de changer. Elle aperçut deux lits dont l'un était d'ailleur occupé par son maitre qui dormait. Elle n'avait que très rarement eu l'occasion de voir un vampire dormir. L'immobilité de leur sommeil avait quelque chose d'effrayant et d'attirant à la fois. Elle alla à son lit et vit à côté son sac dont les oreilles du lapin dépassaient toujours. Elle se pencha et ôta rapidement la peluche de son sac pour la déposer sur son lit , soulagée de la retrouver. Ensuite elle s'assit sur son lit, observant silencieusement son maitre , la peluche de lapin blanc taché de sang dans ses bras. Elle finit par s'ennuyer, descendit du lit et grimpa sur celui de son maitre pour le voir de plus près. Son visage froiet immobile la fesait penser à une statue de marbre et elle dut se retenir de vérifier du bout des doigts que sa peau n'en avait pas pris la consistance. Pouvait elle le réveiller? ...Non, sûrement non. Elle soupira et descendit du lit de son maitre mais se prit les pieds dans la couroie du sac qui devait appartenir à sn maitre et s'étala en beauté, heurtant violemment du genou le pieds de son lit. Elle serra les dents et étouffa un gémissement de douleur. Le raffut qu'elle avait provoqué avait toute les chances d'avoir réveillé son maitre et lorsqu'elle regarda son genoux, un frisson glacé la parcourut. Elle était blessé et déja le sang perlait pour couler le long de sa jambe. Si elle avait appris une chose, c'est que n'importe quel vampire peut perdre ses moyen face au sang, que la tentation est très forte et que rare sont ceux qui la supporte. elle n'avait pas oublier son enseignement et c'est le regard affolé qu'elle se tourna vers son maitre, affolé mais méfiante et prête à lutter. C'est limite si elle ne grondait pas tel un animal furieux, pris au piège .

Arioch était en plein cauchemar, le même et éprouvant rêve qui ne cesse de ce renouveler tout les soirs où il dort :

La scène se déroule en un lieu très sombre aux reflets bleutés, ressemblant à un manoir au clair de lune.

-Qui es-tu ? demande Arioch étant enfant, pourquoi sembles-tu si méchant ?
-Mais tu es idiot ou quoi ? répond un adolescent dans la pénombre, je ne suis nul autre que toi !

La voix se matérialise enfin par un jeune homme, le portrait d'Arioch mais bien différent, une personne au très large sourire, les dents bien pointues et les yeux rouge, c'est alors que la scène devient toute engouffrée de noir comme pour changer de lieu, menant directement dans la chambre de ses parents. Arioch, toujours enfant, ne peut que subir la scène, il est totalement impuissant, il voit son autre lui se rapprocher du lit de ses parent, torche à la main avec un large sourire puis il se retourne vers Arioch comme pour lui dire de bien regarder. C’est alors qu’Arioch ne peut plus rien percevoir mis à part les flammes hurlantes consumants les cris de ses parents. Arioch se revoir alors, seul et aux jours d’aujourd’hui, face à son autre lui.

-Tu connais le fond de l’histoire, dit son autre lui, pour redonné ton équilibre, laisse moi t’aider, je ne suis pas mauvais, je suis simplement toi.
-Je n’ai pas besoin de toi, répond Arioch avec son ton habituel, tu n’es qu’un simple esprit sans puissance se nourrissant de son hôte, tu ne mérite pas d’être en moi.
-C’est se que l’on va voir.

Le cauchemar est fini, enfin presque :

-Je reconnais cette odeur et cette présence, dit le vampire toujours couché et les yeux fermés, cette bonne odeur de nectar me redonne toutes mes forces.

Le vampire se rut alors sur la jeune fille tel une furie et l’immobilise sur son lit les bras enchaînés dans le haut du lit par ses bras. Puis il se rapproche lentement de son cou, comme pour faire duré son propre plaisir quand, sûrement dut au choc, la jeune fille eu une petite larme lui coulant le long de la joue. Cela stoppa net Arioch qui lâchât un bras de la jeune fille et lui essuyât la larme avec son pouce assez doucement.

-Je suis sincèrement désolé, dit Arioch de son ton habituel, la tête baissée, Cela ne se reproduira jamais, je m’efforcerais que cela soit la première et dernière fois que tu me vois ainsi.

Il avait reprit le dessus sur lui même et s’était excuser tout simplement sans être surpris de son acte, serais-ce déjà arrivé par le passé ?

[hors] si cela te dérange, désolé de t'avoir fait pleuré xD mais je ne trouvais rien d'autre à faire pour le raisonné.

[Je m'en arrangerais ^^]

Elle le savait, son maitre s'était réveilé mais son regard était tout autre que celui qu'il avait put poser sur elle plus tôt dans la journée. Il était menaçant...Terrifiant. Ce regard acheva le peu de confiance qu'elle avait réussit à placer dans son maitre. Tout les vampires était pareils. Alors qu'elle se débatait comme une acharnée lorsque son maitre bondit sur elle , il lui immobilisa les bras en hauteur et elle pouvait voir la bouche de son maitre, mais surtotu ses canines, s'approcher de son cou et elle tentait de le repousser à l'aide de ses jambes, tirant sur ses mains, luttant pour sa vie. La vue des canines l'emplissait de frayeur.Non pas ça ! Pas ça! Elle ne voulait pas !Ni mourrir, ni être mordu, plus jamais . Une larme de rage coula sur son joue, impuissante face à lui. Elle haissait ce sentiments, le même qui l'avait saisi lors de la tragique nuit ou ses parents perdirent la vie. L'impuissance ... L'incapacité à pouvoir agir.Une seconde larme coula, de terreur et de colère. Terreur de revivre les tourment d'une morsure, colère de 'être maisser berner par ses paroles et de ne pas'être enfuie tant qu'il en était encore temps. Soudain il changea, son regard perdut son aura de cruauté et il la lacha pour essyuer la larme. Elle se jetta de côté, refusant qu'il la touche à nouveau. Il s'excusa, promit que cela ne se reproduirait pas mais elle s'en fichait. Les mots ne sont que des lettres assemblées et ne valent rien, seul les actes comptes à ses yeux. Elle le fixait , encore tremblante de ce qui venait de se passer, plus farouche qu'un renard prit au piège. Elle bondit sur son lit, roula et atterit de l'autre côté, attrapant le lapin en peluche au passage pour le fourrer dans le sac avant d'essuyer les traces de larmes sur ses joues. Elle prit la bandouilllère de son sac , la plaça sur son épaule et fonça vers la porte. Pas question qu'elle reste une seconde de plus!